jeudi 19 mars 2009

Let's go.

Changement de vie, changement de blog.
Qui m'aime me suive :

vendredi 6 mars 2009

Il est temps de se dire adieu.

Ce n'est pas sur un coup de tête que je vous dit aurevoir. On se reverra peut-être un de ces jours. Et merci à vous tous. Comprenne qui pourra...

dimanche 1 mars 2009

He has a long knife and he puts it to good use, bodies fall...

Y'a des jours comme ça, rien qu'au réveil déja, on se dit qu'on devrait rester au lit.

C'est ce qu'il s'est passé vendredi. Au petit-déj', j'ai regardé mon frère sombrement et lui ai dit d'une voix grave : "Cédric (c'est son prénom), je vais passer une journée pourrie". C'était prophétique.

Nous avions rdv Théo et moi à 10h15 à l'agence pour récupérer nos clés (voir épisode précédent). Et devinez quoi ? Ils n'avaient pas les clés. "Et pourquoi ?", demandons-nous offusqués et frustrés. "Parce que Mlle Jeanne (nom d'emprunt) a changé la moquette de la chambre, que c'est fait salement et que nous ne voulons pas lui rendre la totalité de la caution". "Et donc, elle ne veut pas vous rendre les clés ?". Tout à fait Thierry... "Mais ne vous inquiétez pas, nous avons rdv avec eux cet après-midi pour un état des lieux et ils vont nous les rendre, ces clés !". D'accord, il ne nous reste plus qu'à attendre 7h...

16h15, personne devant notre futur appart... Mais où se fait donc l'état des lieux ? Oui, où ?? Téléphone à l'agence. "Nous sommes désolééééés mais Mlle Machin n'est pas venue, on n'a pas les clés". Mon p'tit Théo, toujours très énervé, m'attrape par la main et me fait quasiment courir jusqu'à l'agence qui est, soit dit en passant, à quelques kilomètres de l'appart...

Et c'est là que pendant près d'une demi-heure, avec des soupirs, des hurlements, des menaces et des rougeurs de visage, nous parlementons avec ces connes d'agents immobiliers pour récupérer les clés qui nous sont dues. Oh mais ils ne lâchent pas l'affaire comme ça, ces bougres-là ! "On va vous présenter un autre appartement". C'est c'là, ouais ! Et on va refaire les papiers pendant trois plombes et tout ça ! "On va louer un garde-meuble pour que vous puissiez ranger vos affaires en attendant...". En attendant quoi ? Que la folle veuille bien rendre 3 clés ? "Ah vraiment, mr C., nous sommes désolééééés ! On a vraiment fait tout ce qui est en notre pouvoir !". Donnez-nous les clés qui ont servi à faire la visite. "Ah non ! C'est du forcing ! Nous n'avons pas le droit !"

Au secouuuuuuuuurs !!!

Enfin, au bout d'un très long moment dans ce bureau à 25°C (sont fadas, hein) et après avoir téléphoné au Grand Chef, nous finissons par les récupérer, ces putains de clés ! C'est vrai qu'elle est mal posée cette moquette mais enfin, quand même !

J'ai fini la journée sur les rotules. Mais je ne me plains qu'à moitié parce que moi, je ne me suis pas tapé 10h de route depuis la Bretagne dans un camion où la boîte de vitesse a lâchée et où la vitesse maximum est restée à 80km/h tout le long...

Quand on vous dit qu'on a la mafre !

dimanche 22 février 2009

I am a poseur and I don't care, I like to make people stare !

"Cindy ! Mais pourquoi nous abandonnes-tu en ce moment ? Pourquoi nous laisses-tu dans le doute et le désespoir le plus profond ? Pourquoi ne donnes-tu plus de tes nouvelles ? Pourquoi ? Ohhh ! Pourquoooiii ???". Me voila de retour, mes amouuuuurs !

Figurez-vous qu'il y a deux semaines a commencé la quête du Graal pour Théo et moi. Un appartement T2 dans le centre de Toulouse pour moins de 600 euros par mois... Jamais je n'aurai imaginé que ce pu être aussi compliqué. Non, jamais.

Déja, il faut faire le tour des agences. Et ça, ma p'tite dame, c'est pas de tout repos parce que des agences immobilières, y'en a des centaines, voire des milliers (si, si). Ajoutez à ça que quand on ne connaît pas la ville comme sa poche, on utilise les plans Mappy alors là, vous arrivez au summum de la fatigue physique. Imaginez quand même que pour aller de A à B, on vous fait passer par Z, T, K, et R...

L'agence trouvée, OK ! Maintenant, est-ce qu'ils vont avoir notre bonheur dans leur listing pas si remplit que ça ? Oui ! Une visite rue machin à telle heure ! Peut-être que c'est le bon !...

Non, c'est pas le bon. J'aime pas vraiment la "kitchenette" dans le salon sans séparation aucune. J'aime pas non plus le mini-balcon qui donne sur la cité en face. J'aimerai aussi que ça soit un peu plus grand. Qu'il y ait un parking, ça serait génial ! Oh ! Pourquoi le couloir est si grand ici ?... Vous l'aurez comprit, avant qu'un appartement vous tape dans l'oeil, vous visitez pas mal de merde, le tout sous l'oeil impatient et le sourire faux de l'agent qui ferait n'importe quoi pour que vous la prenniez, cette merde inlouable.

Mais enfin ! Enfin ! Vous trouvez l'objet de vos rêves ! Il est beau, il est grand, il est lumineux, y'a du parquet et tout ça et tout ça ! On s'y voit déja. Et comment qu'on va mettre la table dans la cuisine ? Et si on achetait des étagères pour les bouquins et qu'on les mettait là ? Le lit, je le verrai bien de ce côté. Et si on mettait le canapé là ? Et si, et si...

Maintenant, il faut faire les papiers et croyez-moi sur parole, la galère ne fait que commencer. Des papiers, des justificatifs, des factures, il en faut à la pelle. La Gestapo a un nouveau nom : A. I. (Agence Immobilière). Même qu'il serait presque prêt à vous demander votre avis d'imposition de 1988 et pourquoi vous voulez emmenager ensemble, et pourquoi vous ne travaillez pas encore, et vous faîtes quoi comme étude ? La Gestapo, je vous dit ! Le dossier est rempli, manque plus que l'avis du propriétaire... qui dit non ! Aaaargl ! Enfer et Damnation ! Crève, pourriture ! Tu détruis notre rêve, sac à merde ! Je te hais, je te méprise, je te conchie, bâtard ! Pardon mais c'est trop bon...

Bref, je ne vais pas vous repasser tout en détail mais ça y est ! Nous en avons trouvé un autre, idéalement bien placé et pleins d'avantages ! On a les clefs vendredi, je vous raconterai donc les mésaventures du déménagement sous peu. Mouahahah !

lundi 16 février 2009

All by myself not everybody else...

Mes lecteurs, mes amis, mes amours (hu hu). Je tiens à m'excuser tout d'abord de cette absence prolongée qui a du vous sembler horriblement longue, angoissante et déprimante. Donc pardon, mea culpa est (trois coups de poing sur la poitrine). Mais figurez-vous que j'ai une excuse. Et une bonne. J'ai été souffreuteuse.

Il y a un peu plus de deux semaine, j'ai eu très mal à la gorge. Alors certes, ce n'est pas ça qui empêche de taper sur un ordi. Non mais...

Ensuite, un matin, dans la voiture de mon papa (une Renault Press, un nouveau modèle high-tech), la ventilation défaillante m'a soufflée dans l'oeil ce qui m'a fait pleurer (et couler mon maquillage qui est pourtant waterproof - je vais devoir porter plainte). Résultat des courses : un mal à l'oeil gauche insupportable toute la journée. Et le jour d'après aussi. Et le jour d'après aussi. Insoutenable je vous dit. Ca allait quand j'enlevais ma lentille. Or, sans ma lentille, je n'y vois rien. Verdict de l'ophtalmo : des gouttes (beaucoup), des lunettes (tout le temps) et c'est tout parce que "quand même, vous vous êtes fait une plaie au blanc de l'oeil et à la pupille". Saloperie de Renault Press. Et de ventilation défaillante.

En plus de ça est venu se greffer une maladie particulièrement violente : la gastro. Pas d'histoire de caca dans cette histoire mais plutôt de vomi. J'ai passé deux soirées à faire ça. C'est rigolo. T'as mal au bide, tu cours au chiotte et t'essaie de viser dans le trou. Sauf que le deuxième soir, c'était tellement violent que le trou, je l'ai pas vu et j'ai crépi les wc de chez mon copain. En plus vu que j'avais mangé des épinards (haché à la crème), ça a été tip-top à nettoyer. Bref, c'est pas si marrant que ça en vrai parce que pour le coup, j'avais super faim et j'avais pas le droit de manger. Et comme par hasard, j'avais super envie de tartine beurrée. Et en plus, j'ai pas pu vous écrire...

Faute avouée est à moitié pardonnée. Je me repents avec cet article et vous promet d'en écrire un plus long et un plus joli (et moins remplit de vomi) à la fin de la semaine. Le temps me manque pour l'instant...

dimanche 8 février 2009

Oh ! Come on ! We are everywhere. A quiet heartbeat

Et si on se faisait un petit article culturel, mes amis (j'ai conscience que vous n'êtes pas tous mes amis mais c'est pour la mise en page) ? Ayant du temps libre en ce moment (mais ça va pas durer, je vous expliquerai), je lis et je regarde films et séries à vitesse grand V. Je me gave de culture. Si on peut appeller ça comme ça. Donc voici une micro sélection de trucs intéressants.

Séries :

Skins. Les problèmes d'une bande d'ado de 17 ans en Angleterre. On oublie les séries débiles du genre Premiers Baisers et Le Miel et les Abeilles où on parle trop bien et sans gros mots, ici, c'est la vraie vie. Homosexualité, mort, accident, religion, drogue, relations parents-ados, amours, sexe, sexe et... sexe ? Bref, une série à voir de toute urgence tellement c'est trop bien. Si tu cliques sur le nom de la série, c'est magique, tu vas tomber sur un site avec des liens pour voir TOUS les épisodes ! (Merci à Justine).

P.S : mon perso préféré à moi, c'est Chris et je vous merde Jade et Justine ! <3

The Tudors. La vie vachement tourmentée du jeune (et beau ahhhhh) Henry VIII au début de son règne en Angleterre. Les relations tumultueuses avec les femmes, les alliances politiques et les coups tordus... Décors très beaux, personnages attachants et détestables. L'histoire revue et corrigée, c'est tellement plus cool. (Tu cliques et tu as les streamings). Merci quiiiii ?

Livres :

God save la France. Paul est une jeune publicitaire londonien qui débarque à Paris pour un an. La France et les français décrits par un anglais, c'est toujours franchement drôle. Surtout quand on parle de nos défauts. Enfin, des défauts des parigots... "L'ennui, c'est que les Français sont impossibles à vivre". Comme t'as raison mon p'tit Paul ! Zat is ze problem...

Films :

Mes amis, mes amours. Le livre de Marc Lévy ne m'avait pas du tout emballé. Trop niais, trop long, pas assez surprenant. Le film par contre... Mathias et Antoine, pères divorcés avec la garde de leur enfant décident de faire toit commun dans le quartier français de Londres. La vie désordonnée essaie tant bien que mal de s'organiser autour des lois drastiques d'Antoine. Un chouette casting (Florence Foresti, Vincent Lindon...), un décor fabuleux (Londres quoi), une histoire plus vive et plus amusante que le bouquin. A voir (en téléchargement illégal sur Ares).

Avant de boucler cet article supra-intéressant-ça-déchire-à-donf, je voulais vous donner le lien vers un site (ICI) qui propose une énorme quantité de film (très récents pour certains) en streaming. Alors, certes, c'est des screaners, certes, c'est illégal, mais enfin, on s'économise le prix d'une place de ciné. En temps de crise, c'est pas négligeable...

P.s : Vous aurez remarquer la British touch de cet article.

jeudi 5 février 2009

Ooh you're the best friend that I ever had, I've been with you such a long time, You're my sunshine and I want you to know that my feelings are true

Je déteste Facebook mais comme tout le monde, j'ai un compte.

Je me suis inscrite y'a quelques temps, à l'époque où on ne parlait que de ça comme du must sur le Net. "Tu vas voir, c'est trop cool, tu retrouves plein de personnes que tu avais perdu de vue, tu discutes, tu mets des photos, tu vois celles des autres et blablabla et blabliblu". Bah allez, soyons fou, je ne suis plus à la création d'un compte ! J'en ai déja un sur Lookbook, sur Chictopia, sur Glamour, sur Cowblog, sur Youtube, sur Vie De Merde...

Je me suis inscrite, j'ai été déçue.

Il est dit sur Wikipédia (où j'ai un compte d'ailleurs) et à la radio (ce matin) que Facebook est un "site de réseautage social destiné à rassembler des personnes inconnus et connus". Alors là, je me gausse. En quoi c'est social d'avoir plein d' "amis" et de ne pas en connaître la moitié ? En quoi c'est social d'avoir des "amis" et de ne pas leur parler ? En quoi c'est social d'avoir inscrit sur son "mur" un joyeux "Kikoo lol !" ?

Hier, par dépit et frustration, j'ai écrit "Cindy trouve que c'est dingue d'avoir tant d'amis et de ne pas se parler". Ouh la ! Qu'est-ce que j'ai pas dit ! Quelques personnes l'ont mal prit, se sentant visé. Je ne faisais que tirer dans la masse. Quand tu vois que j'ai 26 "amis" et qu'un ou deux seulement me parlent régulièrement... Et quand tu vois que quasiment toutes les personnes qui m'ont rajoutées ne prennent même pas la peine de me demander comment je vais "depuis le temps".

Non, non. Facebook n'est pas pour moi. Ca n'a rien de social, c'est juste du paraître, de l'égocentrisme et des manières. Pour rien, en plus...

"Cindy n'aime pas Facebook".